lundi 22 octobre 2012

I WAS NOT EXPECTING THIS.


Jusqu'ici, dans ma courte vie, bon nombre d'évènements, grands ou petits, étaient particulièrement inattendus. Parce que ça n'avait pas l'air d'être le moment, parce que je ne m'y étais pas préparée, parce que  je m'étais imaginé quelque chose de diamétralement opposé.



Rater ma dernière année de lycée puis finalement passer de justesse, chanter devant deux cent personnes alors qu'on m'a prévenue le jour même, réussir à pécho LE skater sur qui j'avais flashé trois siècles auparavant, avoir une petite soeur à dix-sept ans, être prise à mon tout premier entretien d'embauche, que les 3/4 de mes potes le plus proche le soient étant donné que je ne les aimais pas du tout avant, bien m'entendre avec D. alors que je trouvais ce type super froid, me faire autant de potes à Paris, avoir autant de visites sur ce blog (même si comparé à d'autres c'est rien du tout)... et last but not least: Être sur la pente glissante qui risque de me mener vers LE COUPLE. Et ce n'est même pas de bouclettes blondes que je parle. Non je parle de quelqu'un à qui je ne m'attendais absolument pas, et avec qui c'est un peu compliqué pour le moment parce que sinon ce ne serait pas drôle.

En ce qui concerne ma semaine *fouille dans son agenda*. Lundi je sais plus trop ce que j'ai fait à part aller au service social étudiant et au boulot. A mon avis j'ai dû faire une sieste entre les deux.  Mardi j'ai convaincu un pote d'aller manger des sushi avec moi, on s'est raconté nos vies amoureuses et j'peux vous dire que chez les mecs aussi c'est ultra compliqué. Puis j'ai fait une sieste et j'ai été bosser. Oui j'ai un léger souci avec le sommeil ces temps-ci.
Mercredi matin j'ai été en cours à huit heures, sous la pluie, mug de thé à la main. Puis j'ai appelé ma maman et je lui ai fait part d'une décision un peu importante: en janvier je retourne chez moi. Jusque juin. Parce que si j'ai un loyer à payer à ce moment là, je devrai bosser beaucoup d'heures, et donc peu étudier. Etant donné que je recommence cette année je préfère mettre toutes les chances de réussir de mon côté. Et à midi j'ai été manger libanais avec mon grand-père omnomnom.

Jeudi, re boulot, puis j'ai eu le courage d'aller à l'anniversaire de Garance à vingt trois heures trente j'exige une médaille. Je suis partie super tôt, vers une heure, ce qui fait que j'ai loupé Margaux qui m'a ensuite menacée de rester par sms.

Vendredi, concert de Birdy Nam Nam, pour la troisième fois. Sur le chemin, dans le, tram, un type qui me draguait m'a demandé si j'étais pakistanaise...

Voilà la nouvelle phrase de drague c'est "T'es pakistanaise?"

Puis j'ai passé le week-end à Paris avec ma Be$tah et j'suis même tombée malade. Love la vie. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers une heure du matin dans le lit, Louise et moi avons eu une des conversations les plus profondes que nous ayons eues en quatre ans. Je pense qu'il est temps que j'affronte certaines choses. Je sais pas trop de quoi j'ai peur. J'ai peur de ce que j'ai oublié.

OH GOSH OK LA SEMAINE A L'AIR SUPER VIDE PARCE QUE JE MENTIONNE PAS QUAND JE VAIS VOIR MON PRESQUE COPAIN. J'avoue. Voilà. Jetez moi des cailloux. (haha oui Antoine t'as vu je raconte plus rien sur twitter non plus, auto censure auto censuuuuuure)







Photomaton au palais de tokyo. Elle est belle ma meilleure amie hein??? 



Ah oui voilà j'ai vu ma petite soeur aussi et je lui ai offert des ailes de fée hihi et elle disait "papillooooooon"




Ps: étant donné que je retourne à paris de vendredi soir à mardi matin, l'article du dimanche sera publié mardi et je vous préviens je vais être chiante la semaine qui vient que ce soit sur twitter ou ici ou IRL parce que URGHHHHHHH trucs chiants. Permission de me harceler gentiment sur mon formspring parce que du coup je me sens vip t'as vu.

1 commentaire:

T'as vu peut-être que tu es un hérisson, mais un hérisson qui sait écrire, et ça c'est cool.