lundi 9 février 2015

My friends' imaginary friends.

Je fais partie de ces gens qui ont des positions radicales. Jamais fait partie de mon vocabulaire. "Jamais je boirai jusqu'à ne pas me souvenir de la soirée", "jamais je ne fumerai un joint", "jamais je ne coucherai le premier soir", "je ne trainerai jamais avec des gens qui prennent des drogues chimiques". Beaucoup de choses sur ma liste intitulée "jamais" ont été faites.

Frôler le coma éthylique accidentellement, c'est arrivé il y a trois ans et j'en ai parlé ici.
Fumer des joints, bah, vous le savez bien.
Coucher le premier soir, bah, ouais.
Avoir des amis qui touchent à des choses psychédéliques fabriquées de la main de l'homme, je suis en plein dedans.

Ce ne sont pas mes amis, enfin, ils sont en train de le devenir. Je glisse du stade de "la copine de sam" à "méré(dith)".  Ca me rend assez heureuse. Puis bon entre en jeu mon fameux instinct maternel qui fait qu'en plein milieu d'une soirée à boire moult bières je vois certains d'entre eux aux pupilles particulièrement dilatée; la première chose qui me vient à l'esprit est de leur payer un coca et rester un peu à leurs côtés.

En fait je sais pas si c'est l'âge ou en fait, plutôt l'expérience, mais je me rends bien compte que le style de vie de quelqu'un, ses choix du moment ou d'auparavant ne sont aucune raison de juger cette personne. 

Tant qu'on est gentil avec moi je m'en tape que l'un soit littéralement un bourreau des coeurs ou l'autre un drogué du dimanche.

Maintenant je vais faire la vaisselle, prendre un bain à paillettes, manger les resters de mon poulet sauce aigre-douce et me sentir adulte.

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T'as vu peut-être que tu es un hérisson, mais un hérisson qui sait écrire, et ça c'est cool.